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Photographie | Gravure | Peinture | Dessins et plans | Marchés | Contes de fées | Dessin en noir et blanc | Dix-neuvième siècle | Escaliers -- France | Pinus pinaster | Gemmage | Aquitaine (France) | Métiers traditionnels | Outils agricoles | Pin maritime | Jardins | Châteaux de la Loire | Coloriages | Neige | Art nouveau (décoration) | ...
Abbatiale de Conques. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f441fc-abatiale-d-conques

Abbatiale de Conques

Abbatiale Romane du XIIème siècle dans l'Aveyron (12) : tympan polychrome. Le portail occidental de l'abbatiale Sainte-Foy est surmonté d'un tympan décrivant le Jugement dernier. Il représente le Jugement dernier, d'après l'Évangile selon Matthieu. Il comporte 124 personnages, l'ensemble est divisé en trois niveaux. Tout en haut dans les angles on peut voir deux anges sonneurs de cor, au centre trône le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, au Paradis, et les damnés à sa gauche, en Enfer. Derrière lui les anges portent la Croix et le fer de lance évoquant la Passion. Au niveau médian le cortège des élus est en marche vers le Christ, on peut reconnaître la Vierge Marie et Saint-Pierre (personnages nimbés), qui sont suivis par les personnages ayant marqué l'histoire de l'abbaye : l'abbé Dadon (son fondateur), Charlemagne (son bienfaiteur). Dessous, Sainte Foy sous la main de Dieu, à côté des menottes des prisonniers qu'elle a libérés. De l'autre côté des anges-chevaliers repoussent les damnés essayant d'échapper à l'Enfer. On peut y voir de mauvais moines, un ivrogne pendu par les pieds. Le troisième niveau est divisé en deux parties. À gauche se trouve le Paradis présidé au centre par Abraham, à sa porte un ange fait entrer les élus. La partie droite est consacrée à l'enfer où préside Satan, et où sont châtiés les péchés capitaux : l'Orgueil, désarçonné d'un cheval, l'Avarice pendue haut et court avec sa bourse, la Médisance dont la langue est arrachée par un démon, l'Adultère représenté par une femme, poitrine dénudée, liée par le cou avec son amant. Sur le linteau on peut lire la phrase suivante : «Pécheurs, si vous ne réformez pas vos mœurs, sachez que vous subirez un jugement redoutable». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_Sainte-Foy_de_Conques

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/53446fc8-ascension-de-la-tour-eiffel-par-les-escaliers-en-1889

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889 : 1700 marches environ.

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/58703769-ascension-de-la-tour-eiffel-par-les-escaliers-en-1889

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889

Ascension de la tour Eiffel par les escaliers en 1889 : environ 1700 marches. Mode vestimentaire des années 80.

Attelage tiré par un chien. Source : http://data.abuledu.org/URI/521094bf-attelage-tire-par-un-chien

Attelage tiré par un chien

Attelage de légumes tiré par un chien, 1918, par Carl Reichert (1836-1918).

Au marché à Paris en 1920. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c63841-au-marche-a-paris-en-1920

Au marché à Paris en 1920

Au marché à Paris en 1920, par Jerome Myers (1867-1940).

Babouin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102ac43-babouin

Babouin

Comme beaucoup de primates, les babouins vivent en bandes organisées. Le babouin ne se sent en sécurité qu'à l'intérieur de cette bande, dominée par quelques mâles puissants qui en assurent la défense ; ils sont aussi chargés de faire la paix à l'occasion de querelles intestines. Ils parcourent les savanes arides et les endroits rocailleux en Arabie, en Afrique subsaharienne ainsi que dans les hautes futaies de l'ouest de l'Afrique. Ils se nourrissent de végétaux, de petits animaux, d'oiseaux et d'œufs. Leur marche est celle des quadrupèdes avec leur queue ramenée à la manière d'un arc. Les formes de communication sont variées : transmission de signaux au moyen de la queue, la posture, les cris et les jappements. Selon les espèces, les babouins pèsent de 14 à 40 kg et mesurent entre 50 et 115 cm. Les femelles sont deux fois plus petites que les mâles.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Cabane de résinier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131f65c-cabane-de-resinier

Cabane de résinier

Carte postale intitulée « Le Moulleau par Arcachon (Landes) - La cabane du résinier ». On reconnaît le gemmeur-résinier à son échelle à cale-pieds (pitey) et à sa hache (hapchot). L'origine des cabanes de résiniers remonte à celle de la pratique du gemmage. Mais c'est avec la généralisation du procédé, à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, que ce type d'habitat isolé en pleine forêt des Landes se multipliera. Bien qu'il en existe certaines en brique, les cabanes de résiniers sont traditionnellement en bois de pin. On peut rencontrer aussi bien des cabanes isolées dans la forêt qu'un groupement de quelques cabanes avec des cabanons servant de dépendances pour stocker du matériel, un four à pain, un puits et quelques pieds de vigne le tout dans une petite clairière. Les habitations sont réparties dans la forêt suivant les différentes parcelles exploitées et sont reliées entre elles par des chemins de sable, parfois recouverts de coquilles d'huîtres ou de grépin. Les résiniers n'étaient pas propriétaires des cabanes, mais de simples exploitants souvent amenés à déménager en fonction de l'évolution de leur contrat. Les cabanes étaient habitées la semaine, et généralement la famille se rendait dans le bourg voisin le week-end, faire le marché et se retrouver au bistrot. Le gemmeur quitte sa cabane pour porter les fûts de résine sur les quais d'embarcation avant qu'ils soient acheminés à la distillerie, ou pour se rendre en ville le dimanche. Le reste du temps, la famille vit au rythme des campagnes de gemmage, en forêt. Au début du XXe siècle, on comptait autant de cabanes que de familles d'ouvrier gemmeur, autant de familles que de « pièces » de pins à résiner.

Carte des fuseaux horaires en Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096a7fb-carte-des-fuseaux-horaires-en-europe

Carte des fuseaux horaires en Europe

Carte des fuseaux horaires (UTC) en Europe. Légende : bleu = UTC+1, violet = UTC+2, rouge = UTC+3, rose = UTC+4, vert (à l'est) = UTC+5. Le TAI (Temps atomique international) est établi par le Bureau international des poids et mesures (BIPM) (Pavillon de Breteuil à Sèvres en France) à partir de quelque 349 (décembre 2008) horloges atomiques au césium réparties dans le monde. UTC a la même marche et la même fréquence que le TAI mais en diffère par un nombre entier de secondes. Pour ce faire, UTC est occasionnellement incrémenté ou décrémenté d' une seconde atomique entière, pour faire en sorte que la différence entre UTC et le temps universel UT reste inférieure à 0,9 s, tout en assurant un écart d’un nombre entier de secondes atomiques par rapport au temps atomique.

Carte des pays concernés par le TTIP. Source : http://data.abuledu.org/URI/5480aaee-carte-des-pays-concernes-par-le-ttip

Carte des pays concernés par le TTIP

Carte des pays concernés par le PTIC (TTIP en anglais). Le partenariat transatlantique de commerce et d'investissement, également connu sous le nom de traité de libre-échange transatlantique (TAFTA en anglais), est un accord commercial en cours de négociation entre l'Union européenne et les États-Unis prévoyant la création en 2015 d'une zone de libre-échange transatlantique souvent appelée grand marché transatlantique. Si le projet aboutit, il instituera la zone de libre-échange la plus importante de l'Histoire, couvrant 45,5 % du PIB mondial2. Ses défenseurs affirment que l'accord conduira à une croissance économique pour les deux parties tandis que les critiques soutiennent notamment qu'il augmentera le pouvoir des entreprises face aux États et compliquera la régulation des marchés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Partenariat_transatlantique_de_commerce_et_d%27investissement

Cendrillon, les escaliers du palais. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d34fb9-cendrillon-les-escaliers-du-palais

Cendrillon, les escaliers du palais

Cendrillon, illustration par John Batten, du conte de Joseph Jacobs extrait de "Europa's fairy book », 1916 : le valet verse du miel sur les marches de l'escalier pour retenir les chaussures de la princesse.

Chaussure dorée de Michael Johnson à Honolulu. Source : http://data.abuledu.org/URI/54737f46-chaussure-doree-de-michael-johnson-a-honolulu

Chaussure dorée de Michael Johnson à Honolulu

Une des chaussures dorées portées par Michael Johnson lors des Jeux d'Atlanta. Le marché de la chaussure de sport représente d'énormes enjeux économiques.

Chloé et la neige - texte. Source : http://data.abuledu.org/URI/516bd442-chloe-et-la-neige

Chloé et la neige - texte

Une histoire de Chloé pour "raconte-moi", sur un scénario de Jean-Louis Frucot, illustré en six vignettes par Arnaud Pérat (Ryxéo, avril 2013) : il neige, Chloé va marcher au jardin public, faire une boule de neige puis un bonhomme de neige. Narration et monologues intérieurs de Chloé puis du bonhomme de neige. (605 mots)

Cinq petits pois. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c12558-cinq-petits-pois

Cinq petits pois

Le bassin aux cinq petits pois ("Sweet Pea"), 2004. Créé par l'artiste Walter Gibson pour l'ouverture du Marché de Kitchener. Payé par le programme urbain du 1% de la ville de Kitchener (Ontario).

Clé à sardines. Source : http://data.abuledu.org/URI/51483517-cle-a-sardines

Clé à sardines

Les « clés à sardines », qui servaient autrefois à enrouler les couvercles minces des conserves de poissons, tendent à disparaître du marché, par suite de l'adoption d'opercules prédécoupés d'ouverture beaucoup plus facile, comportant un anneau dans lequel on passe le doigt pour tirer plus aisément le couvercle.

Contes de fées japonais - 03. Source : http://data.abuledu.org/URI/568425a0-contes-de-fees-japonais-03

Contes de fées japonais - 03

Contes de fées japonais - 03, traduction en anglais par 0zaki, 1908 : Courageusement, il marcha sur le dragon.

Croissance du tigre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df43aa-croissance-du-tigre

Croissance du tigre

Courbe de croissance du tigre du Bengale. Les jeunes tigres sont nus et incapables de marcher à la naissance ; ils pèsent de 750 à 1 600 g selon les sous-espèces : le tigre nouveau-né est 200 fois plus léger que le tigre adulte. Trois à trente minutes après la naissance, lorsque le premier cri est poussé, la tigresse libère les petits du cordon ombilical et les nettoie. Attirés par la chaleur du corps de leur mère, les nouveau-nés aveugles cherchent alors les mamelles en tâtonnant. L’allaitement commence durant les quatre premières heures, et les trois premiers jours y seront consacrés. Dans un premier temps, l'allaitement dure 70 % des heures du jour, puis le temps consacré à cette activité diminue : il passe à 60 % au bout de dix jours, 30 % après quarante jours et seulement 10 % à 90 jours, lorsque les jeunes tigres ont presque terminé leur sevrage. La tigresse se désintéresse rapidement des jeunes immobiles, considérés comme mort-nés ; de même, elle ne forcera pas ses petits à se nourrir. Le lait de la tigresse est très riche en lipides et en protéines, ce qui leur assure une croissance rapide : le tigre multiplie son poids par cent durant les vingt premiers mois, sa croissance continuant plus doucement jusqu’à ses deux ans. Source : Kailash Sankhala, "Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir", MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070).

Déchets de légumes d'un marché. Source : http://data.abuledu.org/URI/510ea223-dechets-de-legumes-d-un-marche

Déchets de légumes d'un marché

Élimination des déchets de légumes par des chèvres, après un marché à Hyderabad (Inde).

Descriptif de la Pagode de Chanteloup. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1854f-descriptif-de-la-pagode-de-chanteloup

Descriptif de la Pagode de Chanteloup

Descriptif bilingue de la Pagode de Chanteloup : Le duc de Choiseul, ministre de Louis XIV tombé en disgrâce à l'instigation de Mme Du Barry, fut exilé sur ses terres d'Amboise. Il fit construire une "folie" splendide petit château à l'orée de la forêt d'Amboise. Il s'y entoura d'intellectuels et d'artistes. Le château fut vendu et démantelé en 1823 pour servir de matériaux de construction. Il ne reste plus hélas de ce chef-d'oeuvre que la Pagode construite en 1775 par l'architecte Le Camus. Édifice de sept étages, 44 mètres de hauteur, 149 marches, qui permet de découvrir une vue magnifique sur la Loire."

Descriptif du château de Talcy. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1a7c0-descriptif-du-chateau-de-talcy

Descriptif du château de Talcy

Descriptif bilingue du château de Talcy : "Construit au XVI° siècle par Bernard Salviati, riche florentin, cousin de Marie de Médicis. D'architecture austère, le château possède un très beau puits, un pressoir en état de marche et un pigeonnier du XVI° siècle comportant 1500 boulins. Là, vécurent Cassandre Slaviati, muse du poète Ronsard, qui lui inspira ses Amours de Cassandre : "Mignonne, allons voir si la rose...", puis Diane Salviati, muse d'Aggripa d'Aubigné, mariée à Guillaume de Musset, ancêtre du poète.é

Escalier du roi d'Aragon dans les falaises de Bonifacio. Source : http://data.abuledu.org/URI/54a7f257-escalier-du-roi-d-aragon-dans-les-falaises-de-bonifacio

Escalier du roi d'Aragon dans les falaises de Bonifacio

Escalier du roi d'Aragon taillé dans les falaises de Bonifacio en Corse : taillé par l'homme directement dans le calcaire et composé de 189 marches, cet escalier aurait, selon la légende, été creusé en seulement une nuit par les troupes du roi d'Aragon lors du siège de Bonifacio de 1420. Plus probablement creusé sur une durée plus longue par les moines franciscains pour accéder à une source d'eau potable située en bas de l'escalier. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonifacio

Étalage d'insectes frits. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fcee59-etalage-d-insectes-frits

Étalage d'insectes frits

Insectes frits en vente sur un marché de Bangkok, en Thailande. La consommation d'insectes par l'homme est courante dans certaines cultures. Cette pratique est appelée entomophagie.

Évolution de la bicyclette, le vélo de course. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edbb5c-evolution-de-la-bicyclette-le-velo-de-course

Évolution de la bicyclette, le vélo de course

Après la Première Guerre mondiale, le terme vélo devient le mot populaire pour décrire la bicyclette utilisée par les ouvriers, paysans et enfants). Les systèmes à plusieurs vitesses commencent à être utilisés dans les compétitions de vélo dans les années 1930. Pendant l'Occupation en France, les voitures sont restreintes à l'usage des médecins, de la police ou de la milice, la bicyclette devenant la reine des transports (ravitaillement et marché noir, trajets pour le travail ou aller voir des proches, développement de vélo taxis dans les grandes villes), succès des compétitions de cyclisme. Les dérailleurs se développent durant les années 1950.

Famille allant au marché. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a8e3cd-famille-allant-au-marche

Famille allant au marché

Famille allant au marché, 1473-5, par Martin Schongauer (1450–1491).

Fermière allant au marché. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e6d7e0-fermiere-allant-au-marche

Fermière allant au marché

Fermière allant au marché, par Giuseppe Arcimboldi (1527-1593)

Fontaine des Innocents en 1878. Source : http://data.abuledu.org/URI/5870430d-fontaine-des-innocents-en-1878

Fontaine des Innocents en 1878

La Fontaine des Innocents au XIXe siècle. Gravure par Alphonse Lamotte (1844-1914).

Gemmage d'un pin : haute care. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131f4da-gemmage-d-un-pin-haute-care

Gemmage d'un pin : haute care

Démonstration de gemmage en été à Mimizan (Landes) pour les touristes : La pique se pratique de bas en haut, car la sève élaborée circule de haut en bas, en entaillant l'aubier dans le sens des fibres (verticalement). La care est incurvée dans sa largeur, et le haut de l'entaille prend la forme d'une ogive. La blessure ne dépasse pas 1 cm de profondeur et varie entre 6 et 11 cm en largeur. Le rafraichissement des cares se fait de plus en plus haut sur les troncs au fil des saisons. Lorsque la taille finit par être trop haute, le résinier doit monter sur un pitey, pièce en bois munie de cales utilisables comme des marches. Le pitey finit peu à peu par céder la place au hapchot équipé d’un long manche.

Gentiane jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb018-gentiane-jaune

Gentiane jaune

Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Gueulard de haut fourneau. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c22811-gueulard-de-haut-fourneau

Gueulard de haut fourneau

Vue spectaculaire des matières enflammées au gueulard du haut fourneau P6, Hayange, France. La photo a été prise par le trou d'homme pendant un arrêt d'entretien. A cette occasion, le niveau des charges est abaissé de quelques mètres et le gueulard ouvert à l'atmosphère pour que le monoxyde de carbone qui se dégage des charges s'enflamme spontanément. On distingue, de haut en bas : les poutres transversales de mesure de température et de composition des gaz, la ceinture des plaques de chocs verticales, le maçonnage réfractaire (non refroidi à cette hauteur) et la charge enflammée. La distribution homogène des flammes sur toute la surface de chargement est caractéristique d'une marche sans "coke au centre".

Haricot beurre noir nain à longue cosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/5471d0f4-haricot-beurre-noir-nain-a-longue-cosse

Haricot beurre noir nain à longue cosse

Haricot beurre noir nain à longue cosse Vilmorin-Andrieux 1904. Cette race paraît être une sous-variété du haricot beurre noir, mais elle en diffère très nettement par sa cosse plus longue et aussi par la forme du grain, qui, au lieu d’être ovoïde, devient presque cylindrique et mesure jusqu’à 0,016 m de long, avec une grosseur et une épaisseur de 0,007m à 0,008m. La cosse est très franchement sans parchemin ; elle est plus effilée, moins charnue que celle de l'autre variété. Le litre pèse 800 grammes, et 100 grammes contiennent environ 340 grains. Ce haricot est déjà répandu aux environs de Paris et se cultive en plein champ pour l’approvisionnement du marché. Source : https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Plantes_potag%C3%A8res/Haricot

Huitres de palétuviers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50426-huitres-de-paletuviers

Huitres de palétuviers

Huîtres de palétuviers dans une mangrove de Carabane (Casamance, Sénégal). La cueillette de fruits de mer, notamment d’huîtres, est une autre activité ancestrale toujours pratiquée en Casamance, qui est l’une des trois régions productrices d’huîtres du Sénégal, avec la Petite-Côte et le Sine-Saloum. Les huîtres se développent sur les racines des palétuviers découvertes à marée basse. Elles sont cueillies pendant la saison sèche, principalement par les femmes, qui contrôlent, de la récolte à la distribution, une activité qui ne nécessite guère d’investissement en dehors des déplacements et qui leur assure une certaine autonomie financière. Les huîtres occupent une place importante dans la consommation familiale. Riches en oligo-éléments et en vitamine C, elles sont, chez les Diolas, la deuxième source de protéines animales après le poisson, devançant le poulet et le porc. Elles sont volontiers associées au riz, base de l’alimentation traditionnelle, voire le remplacent, en cas de pénurie. Localement on les consomme bouillies ou grillées au feu de bois, accompagnées d’une sauce relevée. Lorsqu’elles ont été décortiquées et séchées au soleil ou fumées, elles sont vendues dans la région ou conservées, éventuellement durant quelques mois. Dans certains villages – dont Karabane – elles sont parfois gardées vivantes, pendant plusieurs semaines, avant d’être transportées sur les marchés. Outre leurs qualités nutritives, les huîtres constituent aussi une source de revenus appréciable. Karabane se trouvant au centre de la zone de cueillette, c’est l’une des raisons pour lesquelles cette escale revêt une importance stratégique. Autrefois les huîtres étaient écoulées plus facilement, jusqu’à Dakar, au sein de la communauté diola qui y vit. Elles sont vendues par les cueilleuses elles-mêmes ou par les marchandes ambulantes, que l'on appelle bana-bana. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Karabane

Japonaise marchant dans la neige. Source : http://data.abuledu.org/URI/513ef4b9-japonaise-marchant-dans-la-neige

Japonaise marchant dans la neige

Japonaise emmitouflée marchant dans la neige, en kimono avec getas aux pieds, par Utagawa Kuniyoshi (1797-1861), un des derniers grands maîtres japonais de l'estampe sur bois ('ukiyo-e').

L'escalier impossible de Penrose. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b581c6-l-escalier-impossible-de-penrose

L'escalier impossible de Penrose

Illusion d'optique de l'escalier impossible de Penrose conçu en 1958 par le généticien britannique Lionel Penrose, en se basant sur le triangle de Penrose créé par son fils, le mathématicien Roger Penrose. Il illustre un problème de topologie mathématique. L'escalier de Penrose est une représentation en deux dimensions d'un escalier faisant quatre virages à angle droit, revenant ainsi à son point de départ ; en principe, il devrait y avoir une différence de niveau entre les deux extrémités, mais les perspectives de la représentation sont distordues de sorte qu'au contraire, elles paraissent se rejoindre. De cette manière, la figure donne l'impression que les marches forment une boucle, constituant une perpétuelle montée (ou descente, selon le sens de rotation) ; en d'autres termes, il semble n'y avoir ni point le plus haut, ni point le plus bas. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Escalier_de_Penrose

La cuisine américaine de Julia Child. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a65c13-la-cuisine-americaine-de-julia-child

La cuisine américaine de Julia Child

La cuisine de Julia Child, l'École des Trois Gourmandes, reconstituée au "National Museum of American History". "Mastering the Art of French Cooking" (Maîtriser l'art de la cuisine française) est un livre de cuisine française en deux volumes publié aux États-Unis en 1961. Ses auteurs sont deux Françaises, Simone Beck et Louisette Bertholle, et une Américaine, Julia Child. Ce livre, écrit pour le marché américain, a été publié par Knopf en deux temps, le tome I en 1961 et le tome II en 1970. Il a connu en 2009 un regain d'actualité avec la sortie du film de Nora Ephron, "Julie & Julia", inspiré du roman de Julie Powell, "Julie & Julia : 365 Days, 524 Recipes, Tiny Apartment Kitchen", qui se réfère à la vie de Julia Child (1912-2004). Le musée national d'histoire américaine (The National Museum of American History) est un musée américain situé à Washington DC. Il regroupe plusieurs collections sur l'héritage et le patrimoine des États-Unis, dans tous les domaines (social, culturel, scientifique et militaire). Il fait partie de la "Smithsonian Institution".

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/524f15eb-la-fosse-des-ours-au-jardin-des-plantes-a-paris

La fosse des ours au Jardin des Plantes à Paris

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.291 : manuel scolaire, édition de 1904. LA FOSSE DES OURS AU JARDIN DES PLANTES. - L'ours se trouve dans toutes les parties du monde. Il recherche les montagnes et les forêts solitaires, où il trouve un abri contre les chasseurs. - Il y en a encore dans les Alpes et les Pyrénées. L'ours marche lourdement, mais nage et grimpe aux arbres avec agilité. Il est assez intelligent, et, comme il peut facilement se tenir sur ses pieds de derrière, les bateleurs lui apprennent à danser et à exécuter divers tours.

La petite fille qui marcha sur du pain d'Andersen en 1914. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca50ba-la-petite-fille-qui-marcha-sur-du-pain-d-andersen-en-1914

La petite fille qui marcha sur du pain d'Andersen en 1914

Frontispice de "La petite fille qui marcha sur du pain", conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 67.

La petite fille qui marcha sur du pain d'Andersen en 1914 - 02. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca5903-la-petite-fille-qui-marcha-sur-du-pain-d-andersen-en-1914-02

La petite fille qui marcha sur du pain d'Andersen en 1914 - 02

La petite fille qui marcha sur du pain, conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 70.

La princesse Rosette, chapitre IV. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313881b-la-princesse-rosette-chapitre-iv

La princesse Rosette, chapitre IV

La princesse Rosette, chapitre IV, seconde journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Les applaudissements et l'enthousiasme pour Rosette devinrent si bruyants, que pour s'y soustraire elle se réfugia dans le jardin, ou Charmant la suivit ; ils se promenèrent le reste de la soirée et s'entretinrent de leurs projets d'avenir, si la fée Puissante permettait à Rosette d'unir sa vie à celle de Charmant. Les diamants de Rosette brillaient d'un tel éclat que les allées où ils marchaient, les bosquets où ils s'asseyaient, semblaient éclairés par mille étoiles.

Le baron de Munchhausen - 6. Source : http://data.abuledu.org/URI/521e15ba-le-baron-de-munchhausen-6

Le baron de Munchhausen - 6

Les aventures du baron de Munchhausen - 6, série de cartes postales de Oskar Herrfurth (1862-1934). Résumé de la légende en allemand : Au cours d'une bataille contre les Turcs, Munchhausen avait poursuivi ses ennemis jusqu'à la place du marché d'une ville. Son cheval se précipita jusqu'à la fontaine et but plus que de raison. Il vit alors que l'animal avait perdu d'arrière-train et que l'eau s'écoulait par derrière. Heureusement il retrouva l'autre moitié de l'animal merveilleux à la sortie de la ville.

Le berger des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/524de884-le-berger-des-landes

Le berger des Landes

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.221 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Un berger des Landes.—On appelle échasses deux perches ou bâtons munis d'une espère d'étrier ou fourchon qui soutient le pied. Elles sont serrées aux jambes par des courroies. Les échasses ne sont pas seulement un jouet d'enfant, les pâtres des Landes et du bas Poitou s'en servent pour marcher dans les marais et dans les sables.

Le bon marché en 1893. Source : http://data.abuledu.org/URI/55192b28-le-bon-marche-en-1893

Le bon marché en 1893

Le bon marché en 1893, par Félix Vallotton (1865-1925).

Le bon petit Henri, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313a25b-le-bon-petit-henri-chapitre-v

Le bon petit Henri, chapitre V

Le bon petit Henri, chapitre V, La chasse, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri fut sur la point de rejeter dans la forêt ce bâton inutile, mais il pensa que ce ne serait pas poli, il le prit en remerciant le Loup. «Monte sur mon dos, Henri», dit le Loup. Henri sauta sur le dos du Loup ; aussitôt le Loup fit un bond si prodigieux qu'il se trouva de l'autre côté du précipice. Henri descendit, remercia le Loup et continua sa marche.

Le Grand Bé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357dd6f-le-grand-be

Le Grand Bé

Le Grand Bé (ou Bey) est une île inhabitée de Saint-Malo située à l'embouchure de la Rance, au pied des remparts de la ville de Saint-Malo. Elle devient presqu'île à marée basse et l'on peut ainsi y accéder à pied depuis la plage de Bon-Secours. Chateaubriand y est enterré. Le Grand Bé se situe à environ 500 mètres à l’ouest de la plage de Bon-Secours, au pied des remparts de la ville. Une dépression naturelle sépare l’île de la ville et est rarement sèche, même à marée basse. Une chaussée cimentée surélevée permet d’y accéder. Celle-ci est récente. Au XIXe siècle, on arrivait au Grand Bé par une passerelle en bois et, plus anciennement, en marchant sur des pierres roulantes. Depuis Mars 2011, "le sonneur des Bés" avertit lors de la marée montante, les touristes à l'aide d'une corne de brume lors des grandes marées pour éviter que ceux-ci ne se retrouve pris au piège.

Le joueur de fifre de Hamelin et les rats. Source : http://data.abuledu.org/URI/507942f8-le-joueur-de-fifre-de-hamelin-et-les-rats

Le joueur de fifre de Hamelin et les rats

Représentation médiévale (entre 1300 et 1633) des épisodes du conte du "Joueur de fifre de Hamelin" : vitrail de l'église du marché de Hamelin en Allemagne. Légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm et arrivée jusqu'à notre époque sous le titre original "Der Rattenfänger von Hameln" (L'Attrapeur de rats de Hamelin). Elle évoque un désastre censé être intervenu le 26 juin 1284 dans la ville de Hamelin en Allemagne.

Le marchand de fleurs ambulant. Source : http://data.abuledu.org/URI/520e3bbd-le-marchand-de-fleurs-ambulant

Le marchand de fleurs ambulant

Le marchand de fleurs ambulant à Londres, par Jacques Laurent Agasse (1767-1849), peintre suisse.

Le Marché Ste Catherine. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a63474-le-marche-ste-catherine

Le Marché Ste Catherine

Le Marché Sainte-Catherine, 1925-30, par Jan Cornelis Hofman (1889-1966).

Les arbres en marche. Source : http://data.abuledu.org/URI/56e49d55-les-arbres-en-marche

Les arbres en marche

Les arbres en marche, "A book of images", 1898, par William Thomas Horton (1864-1919).

Les Halles de Paris en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b09946-les-halles-de-paris-en-1889

Les Halles de Paris en 1889

"Les Halles", tableau commandé à Léon Augustin Lhermitte en 1889, par la Mairie de Paris.

Les marches dans le jardin de l'asile. Source : http://data.abuledu.org/URI/551491b0-les-marches-dans-le-jardin-de-l-asile

Les marches dans le jardin de l'asile

Les marches dans le jardin de l'asile, juin 1889, par Vincent Van Gogh (1853-1890).